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Mon nouveau livre: Tiahuanaco et l’Ile de Pâques, roche géopolymère

Livre: Ils viennent d’Amérique pour bâtir l’Ile de Pâques, ISBN: 979-10-242-0610-3, publié en Juin 2021 aux éditions Dervy, Groupe Guy Trédaniel, Paris. Vidéo de présentation: Trédaniel Découvertes – Joseph DAVIDOVITS – Ils viennent d’Amérique pour bâtir l’île de Pâques

Après nos expéditions en 2016 à l’Ile de Pâques, puis en 2017 à Tiahuanaco (Pumapunku/Tiwanaku), allez à Preuves scientifiques: Tiwanaku / Pumapunku sont en géopolymère artificiel  ainsi que Research Gate et Institut Géopolymère, je développe dans ce livre notre découverte archéologique sur la nature artificielle des différents monuments que l’on trouve en Amérique du Sud dans les Andes, et sur la nature artificielle des statues de l’île de Pâques.

Tout le monde connaît l’île de Pâques et ses statues. Le problème c’est qu’il n’y en a pas 1, ou 2 ou 10, mais des centaines. On en compte environ 800 pesant entre 5 tonnes et 20 tonnes et ayant jusque 10 mètres de hauteur. Comment cette population qui a compté au maximum 4000 habitants, lors de sa découverte en 1722, a pu réaliser ce nombre invraisemblable de statues colossales ? On nous explique que ces statues ont été taillées dans de la roche volcanique et transportées depuis le volcan, montées sur les terrasses avec des techniques que chacun essaye d’appliquer sans succès. Évidemment, on nous propose des tas de solutions avec des cordes, et des poutres, d’autres utilisent l’aide des extra-terrestres, mais tout ceci constitue un ensemble qui dépasse l’entendement normal.

Le livre parle de notre découverte sur la nature artificielle de ces roches volcaniques utilisées dans la réalisation de ces statues; c’est-à-dire qu’au lieu d’avoir été transportées et taillées, elles ont été moulées sur place à l’aide de technologies géopolymères en milieu acide (extraits de biomasse). Avec ce type de raisonnement, on commence alors à comprendre ce qu’il s’est passé sur cette île et à se demander d’où vient cette connaissance. Qui ? Quand ? Comment?

Cette connaissance a été apportée dans l’île de Pâques, non pas par les Polynésiens, mais par les Amérindiens, les Américains du Sud venant des Andes, de l’Altiplano, de la région de Cuzco, de Tiahuanaco (Pumapunku/Tiwanaku) situé dans l’actuelle Bolivie.

Le titre du livre est: Ils viennent d’Amérique pour bâtir l’ile de Pâques. C’est un livre en 2 parties:
1ère Partie, Chapitres 2 à 9: La découverte des technologies des pierres géopolymères artificielles mises en œuvre dans les Andes, sur l’Altiplano, près du Lac Titicaca situé à près de 4000 m d’altitude, dans les sites archéologiques de Tiwanaku / Pumapunku, en Bolivie, en Amérique du Sud.

2ème Partie, Chapitres 10 à 12: Ils viennent d’Amérique pour construire l’île de Pâques. Y a- t-il un lien avec une civilisation venue de l’Est ? C’est un sujet tabou sur l’île de Pâques. Il semble qu’il soit interdit d’exprimer une telle opinion. Cependant, j’ais essayé de clarifier et de décrire mon hypothèse sur ce sujet dans ces chapitres 10 à 12.

Je raconte plusieurs aventures humaines qui se succédèrent sur plus de 300 ans entre 850 av. J.-C. et 1200 av. J.-C. Tout ceci se passe 600 ans avant les Incas. Je décris et je propose, en fonction des connaissances acquises grâce aux travaux de différents anthropologues américains et Chiliens, comment les peuples sud-américains ont échoué sur l’île, alors qu’on nous dit que c’est impossible.

La partie « île de Pâque » est une exclusivité qui n’a jamais été publiée jusqu’à présent, alors que la partie amérindienne de Tiahuanaco / Pumapunku fut publiée à la fois dans des articles scientifiques et des vidéoconférences sur YouTube et autres supports d’Internet (au total plus de 1 million de vues). Ce sont des Amérindiens du Sud,  des exilés venant de l’Altiplano dans les Andes, puis ceux venant du Chili, les Mapuches, qui ont été les premiers à échouer sur l’île de Pâques avant les Polynésiens qui arrivèrent après.

L’ensemble de ma recherche est le résultat d’une approche globale des différentes connaissances acquises dans le domaine de l’anthropologie et de l’archéologie d’une part, de la chimie des géopolymères et de la science des matériaux d’autre part. Se contenter d’une seule ne permet pas de comprendre et d’expliquer cette aventure de l’homo sapiens confronté à des conditions environnementales extrêmes. Comment, vers 850 apr. J.-C., après l’effondrement de la brillante civilisation de Tiwanaku (Tiahuanaco) qui s’était développée harmonieusement à 4000 m d’altitude dans les Andes de l’Amérique du Sud, certains exilés parvinrent-ils à reproduire leur extraordinaire connaissance technologique sur une île perdue du Pacifique, l’Île de Pâques, et fabriquer les colosses, les statues Chemamülles et les Moais en pierre volcanique artificielle géopolymère ? 

Aucune des deux civilisations étudiées dans ce livre, celle d’Amérique du Sud à Tiahuanaco, Bolivie, dans l’Altiplano, qui eut son apogée entre 600 et 800 apr. J.-C. et celle de l’Île de Pâques, qui prend le relai à partir de 800-900 apr. J.-C., n’a transmise d’information par le biais d’un système d’écriture, de texte ou de gravure. C’est le silence le plus total. Il m’a fallu donc « prendre conscience de beaucoup de choses », c’est-à-dire faire preuve d’ingéniosité. J’ai réussi à relier l’impossible et le défendu, l’impossible en démontrant la forte relation existant entre les Andes de l’Amérique du Sud et l’Île de Pâques, le défendu en établissant que les premiers occupants de l’île furent des Américains, bien avant les Polynésiens. Ils viennent d’Amérique pour bâtir l’Île de Pâques. En vente dans toutes les librairies.

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